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Conseil aux perfectionnistes

Quand on a le tempérament d'un entrepreneur, quand on est quelqu'un qui est porté sur l'action et le progrès constant... On a souvent tendance à être perfectionniste.

Un perfectionniste, c'est quelqu'un qui n'arrive pas à se satisfaire d'une situation qui est « juste ok ». S'il est possible de faire mieux ou d'avoir mieux, il ne se reposera pas tant qu'il n'aura pas réussi.

C'est positif, sur beaucoup d'aspects. Mais l'un des problèmes, c'est que ça peut rendre la prise de décision vraiment difficile :

Quand on est perfectionniste, on a une peur panique de faire un choix qui ne soit pas le « choix parfait ». Et on sait, d'ailleurs, que quelle que soit la décision qu'on prend, on risque de la regretter à un moment quand on s'apercevra qu'un autre choix aurait été possible, et qu'il aurait été légèrement meilleur.

C'est la raison pour laquelle les gens qui ont tendance à tout vouloir optimiser et maximaliser ont souvent tellement de mal à se décider.

Qu'est-ce qui se passera si je me rends compte dans un mois qu'une meilleure option est meilleure que celle-ci ?

Qu'est-ce qui se passera si je réalise dans un an qu'une aute voie que celle que j'ai choisie m'attire davantage que celle sur laquelle je me lance aujourd'hui ?

Le problème, c'est que la voie parfaite, le choix parfait et la méthode parfaite n'existent pas. D'ailleurs, même si on avait choisi une meilleure voie que celle dans laquelle on est engagé, on se poserait les mêmes questions : c'est le propre du perfectionnisme !

Ce qui m'a beaucoup aidé, c'est de me dire que je n'ai pas besoin de chercher la voie parfaite, à condition que celle que je choisis soit améliorable.

Quand on choisit un chemin sur lequel on peut itérer, améliorer les choses au fil du temps, apprendre du passé et améliorer sans cesse le futur possible, on n'a plus besoin de se demander si on a choisi la « voie parfaite »... parce que la voie parfaite, c'est celle qu'on construit en améliorant peu à peu une voie qui est imparfaite.

Le tout, c'est de choisir un chemin qui offre un minimum de flexibilité. Une voie qui laisse la possibilité de faire des aménagements. Une voie sur laquelle il est possible - et facile - de pratiquer l'itération.

Quand on a du mal à prendre des grandes décisions pour sa vie ou pour son activité parce qu'on est perfectionniste, ça peut aider de voir les choses sous cet angle. Ça m'a aidé énormément, par exemple.

L'idée, c'est de se dire : « Il n'y a pas de voie parfaite et idéale qui existe déjà. La seule façon de trouver la voie parfaite et idéale, c'est de la construire par moi-même, en partant d'un choix imparfait, puis en améliorant et en aménageant les choses au fil du temps. »

Le module 4 de la formation « Faire le bilan de sa vie : savoir où on va, pourquoi, et comment » est consacré aux choix qui sont difficiles parce que plusieurs options différentes nous attirent :

Si c'est un sujet qui t'intéresse, voici le programme de ce module :

Libère-toi de la quête perpétuelle du "truc parfait" qui ne mène qu'à la frustration

‐ Maîtrise l'art de l'itération pour faire évoluer progressivement ta situation sans stress

‐ Apprends à satisfaire ton besoin de variété sans remettre en cause tes choix fondamentaux

‐ Libère-toi de l'anxiété liée à la peur de rater des opportunités

‐ Adopte une perspective qui permet d'apprécier l'imperfection et de trouver le calme quand l'herbe semble plus verte ailleurs

Libère-toi de la pression de devoir tout réussir du premier coup

‐ Apprends à gérer sainement ton besoin de nouveauté et de stimulations

‐ Libère-toi du stress lié à la comparaison constante avec les autres

‐ Apprends à trouver le calme même dans les situations chaotiques

‐ Trouve ton équilibre entre ambition et contentement

‐ Apprends à transformer tes doutes en opportunités d'exploration et de croissance

Libère-toi du perfectionnisme qui t'empêche d'avancer sereinement

Toutes les infos sur la formation sont ici :

« Faire le bilan de sa vie : savoir où on va, pourquoi, et comment »

Pour terminer, voici ma toute dernière vidéo YouTube : Combien d'argent faut-il pour être heureux ?


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Jean Rivière.

Tes rêves te rendent frustré ?

J'ai connu beaucoup d'entrepreneurs qui ont tout réussi sur le plan du business, mais qui vivent dans la frustration permanente au quotidien.

Ils n'arrivent pas à être heureux, parce qu'ils sont toujours « en manque » de quelque chose : atteindre le prochain palier, réaliser l'objectif suivant, etc.

C'est tout le problème des personnes qui ont un énorme focus sur la croissance : d'un côté, c'est positif parce que ça permet de changer de façon positive, de construire de grandes choses, d'avancer...

Mais le problème, c'est qu'en vivant toujours dans le futur, on néglige le présent et on a tendance à ne pas accorder assez d'attention ni à fournir assez d'efforts sur l'amélioration de ce qu'on a en face de nous : notre cadre de vie, notre quotidien à la maison, et ainsi de suite.

L'idéal, c'est de trouver un vrai équilibre entre :

1- L'accomplissement dans le présent ;

2- Le travail pour avancer sur des projets qui amélioreront l'avenir.

Dans la formation « Faire le bilan de sa vie : savoir où on va, pourquoi, et comment », j'utilise cette métaphore pour expliquer cette idée :

Imagine que tu sois sur un bateau, et que tu vises un cap.

Ce cap, c'est la réalisation de tes projets, de tes objectifs et de tes rêves.

Tu auras plus de chances d'atteindre ce cap si tu ne négliges pas l'entretien de ton bateau : si tu ne regardes que l'objectif, tu ne verras pas qu'il y a des fissures sur la coque, et que tu risques de sombrer.

Viser un cap sans pour autant négliger le présent, ça peut aussi vouloir dire de rendre son bateau confortable pour rendre la traversée plus facile et plus agréable.

Quand on néglige le travail sur son cadre de vie, son environnement, son couple, sa vie sociale, sa santé physique et mentale parce qu'on est 100 % concentré sur un objectif futur, on se rend en réalité la tâche encore plus difficile, et on réduit ses chances de succès.

C'est comme si on visait un cap sans s'inquiéter que la coque du bateau soit fissurée et qu'il commence à prendre l'eau.

Dans le module 3 de la formation « Faire le bilan de sa vie : savoir où on va, pourquoi, et comment », je propose des stratégies concrètes pour établir un rapport sain à ses objectifs, c'est-à-dire pour construire un équilibre entre le présent et le futur.

C'est souvent ce qui manque le plus aux entrepreneurs et à tous ceux qui investissent une grande partie de leurs efforts dans la réalisation d'un grand rêve ou d'un grand projet.

Dans ce module de la formation « Faire le bilan de sa vie : savoir où on va, pourquoi, et comment », voici ce que tu vas trouver :

Apprends à créer un "bateau confortable" pour naviguer vers la réalisation tes objectifs : équilibre la poursuite d'objectifs futurs et ta qualité de vie dans le présent

Libère toi de la frustration permanente liée à l'obsession pour la réussite d'un projet (tout en ayant davantage de chances de réussir ce projet)

‐ Apprends à maintenir un cadre de vie sain et agréable tout en travaillant à réaliser tes rêves

‐ Identifie les domaines de ta vie quotidienne qui méritent plus d'attention et d'entretien

‐ Comprends pourquoi le développement personnel mal équilibré peut créer de la frustration

‐ Apprends à reconnaître les signes d'un déséquilibre entre objectifs et qualité de vie

‐ Découvre comment améliorer ton quotidien sans sacrifier tes ambitions et comprends l'importance d'avoir une base solide dans le présent pour réussir dans le futur

‐ Apprends à prendre du recul sur tes objectifs pour éviter l'obsession et améliorer ta qualité de vie au long du chemin

Fais le point sur tes besoins physiologiques, affectifs et d'accomplissement personnel (qui sont souvent négligés par les entrepreneurs)

‐ Crée une liste d'objectifs claire et concrète pour l'amélioration du présent

‐ Comprends pourquoi il est crucial de ne pas travailler sur trop d'objectifs simultanément, et rééquilibre ta liste de projets en cours

Deviens moins influençable et plus résilient en construisant une base mentale solide

‐ Explore des façons concrètes de rendre ton quotidien plus agréable et plus vivable, sans perdre de vue tes objectifs

Cette page donne tout le détail sur la formation :

« Faire le bilan de sa vie : savoir où on va, pourquoi, et comment »

Pour terminer, voici ma toute dernière vidéo YouTube : Mon business est en échec total : que faire, concrètement ?


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Jean Rivière.

Le prix de l'ennui

Quand on s'ennuie, on prend parfois des décisions insensées, juste pour ressentir une stimulation.

Et c'est un énorme problème, parce qu'on se retrouve parfois à poursuivre des objectifs qui ne sont pas bons pour nous... qu'on avait choisis à un moment où on s'ennuyait, juste parce qu'on avait besoin de trouver quelque chose de stimulant pour se distraire.

Tu connais peut-être une personne qui a tendance à démarrer une dispute à chaque fois qu'elle s'ennuie... On en a tous connu au moins une dans nos vies.

Ça m'est arrivé de côtoyer une personne qui correspond à ce profil, et au début, je n'avais pas compris que son agressivité était liée à son incapacité à supporter l'ennui.

Et ça m'a amené à réfléchir sur le sujet, et sur les comportements néfastes ou toxiques que j'ai moi-même choisis par le passé comme diversions, pour éviter d'avoir à m'ennuyer.

Et je me suis rendu compte que je me suis lancé dans beaucoup de projets au fil des ans, certains petits, et d'autres d'ampleur importante, juste parce que je ne supportais pas l'ennui.

Sur le moment, je ne me rendais pas compte que la cause de ces décisions était celle-là. Il m'a fallu un certain recul pour le réaliser.

Et après avoir eu cette réalisation, j'ai repassé le « film de ma vie » dans ma tête, pour essayer d'identifier tous les choix, projets, et objectifs que je m'étais fixés qui correspondaient à ce cas de figure.

Je me suis rendu compte que beaucoup des projets sur lesquels je me suis le plus épuisé, beaucoup des défis dans lesquels j'ai investi le plus d'énergie, beaucoup des choix qui ont généré le plus de stress et d'anxiété dans ma vie avaient leur source dans une tentative ponctuelle d'évitement de l'ennui...

Lesquels de tes objectifs et de tes projets actuels valent VRAIMENT la peine d'être poursuivis ? Lesquels méritent vraiment que tu y investisses autant d'efforts ? Lesquels te permettront de construire quelque chose de vraiment durable ? Lesquels te permettront de te dire, dans des années, que tu ne regrettes pas d'avoir fait tout ce travail ?

Et lesquels ne sont, au contraire, qu'une diversion ? Une stratégie d'évitement ? Quelque chose que tu fais pour échapper à l'ennui, ou bien pour éviter d'être confronté à tes démons intérieurs ?

Le problème de l'ennui, c'est qu'il nous met face à nous-mêmes. Il nous montre, en 3D, ce qu'on ne veut pas forcément voir à l'intérieur de nous : ces problèmes que l'on n'a pas encore su régler, cette culpabilité qu'on traîne parfois, ces doutes, ces parties sombres...

Et comme il est souvent douloureux de regarder tout ça dans les yeux, alors on ferait n'importe quoi pour s'occuper l'esprit, se divertir, oublier.

C'est exactement le même moteur que celui des addictions, et c'est la raison pour laquelle c'est tellement facile de devenir accro à une substance ou à un comportement toxique quand on souffre : ça permet de se cacher les yeux, d'éviter d'affronter le réel... en d'autres mots, d'éviter l'ennui à tout prix, parce qu'il serait trop douloureux de lui faire face.

Ce que je te propose aujourd'hui, c'est de prendre un peu de recul sur tes objectifs et sur tes projets.

Est-ce que certains d'entre eux sont des stratégies d'évitement ? Lesquels sont de VRAIS projets, qui méritent les efforts que tu y investis, et lesquels te servent pour t'occuper l'esprit et t'éviter de te confronter à l'ennui ?

Et surtout :

Est-ce que les efforts que tu investis peut-être dans les projets qui te servent de diversions méritent vraiment de l'être ?

Dans la formation « Faire le bilan de sa vie : savoir où on va, pourquoi, et comment », on fait ensemble un grand bilan de tes objectifs, de tes valeurs, de tes projets. J'y propose un questionnement guidé, étape par étape, qui permet d'avoir une vision claire de ses aspirations, et de s'orienter vers les directions qui sont vraiment les bonnes pour soi.

Le module 2 de la formation propose tout un travail sur les valeurs, et des méthodes pour retrouver l'alignement, et dénouer les dissonances cognitives.

En voici le programme :

Identifie tes valeurs fondamentales à travers un exercice d'introspection guidée

‐ Découvre comment ton passé influence tes schémas de pensée actuels

‐ Découvre comment tes valeurs influencent tes choix de vie quotidiens

Explore les origines de tes valeurs actuelles (famille, culture, expériences...)

‐ Explore la notion de "dissonance de valeurs" et son impact sur ton bien-être quotidien

Crée ta propre "boussole de valeurs" pour orienter tes décisions importantes

Analyse tes expériences passées pour révéler tes valeurs sous-jacentes

‐ Développe des stratégies pour aligner tes choix avec tes valeurs

‐ Identifie les conflits potentiels entre tes différentes valeurs

Analyse tes routines quotidiennes à la lumière de tes valeurs fondamentales

‐ Découvre toute une batterie d'exercices pour dénouer tes dissonances cognitives, prendre des décisions difficiles de façon ancrée, et retrouver l'alignement

- Apprends une méthode efficace pour résoudre les conflits intérieurs, quels qu'ils soient (elle pourra t'être utile pendant toute ta vie)

La formation est disponible ici :

« Faire le bilan de sa vie : savoir où on va, pourquoi, et comment »

Voici aussi ma toute dernière vidéo YouTube : Digital nomad : les vrais dangers (expériences vécues)


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Jean Rivière.

Réviser ses objectifs

Beaucoup de gens vivent une vie qui n'est pas vraiment la leur. Ils s'épuisent à travailler à construire des choses qui ne sont pas faites pour eux. Leurs objectifs, les projets qui occupent toutes leurs journées, leurs galères et leurs problèmes ne leur appartiennent pas.

Pour une raison simple : on change au fil des ans !

Et parfois, nos décisions ont donc été prises par « quelqu'un d'autre », qui n'est pas la personne qu'on est aujourd'hui.

Je ne suis pas la même personne que celle que j'étais il y a dix ans, et tu n'es pas non plus la même personne que celle qui avait pris telle ou telle décision pour son avenir en 2010, en 2015 ou en 2019.

D'ailleurs, tous les six ans, notre corps entier est « remplacé » : il n'y a plus aucune portion de matière qui n'est pas entièrement renouvelée.

Notre personnalité, et même notre identité, changent aussi. Elles ne sont pas autre chose que le fruit de nos expériences vécues et des petits choix qu'on fait au jour le jour.

Parfois, on ne comprend même plus les décisions qu'on avait prises par le passé. Il peut même arriver qu'on change tellement qu'on ne se reconnaisse plus du tout dans la personne qu'on était autrefois.

Et le problème, c'est que notre contexte de vie, une partie de nos objectifs, et beaucoup des choses qui définissent nos journées quotidiennes sont le fruit de décisions prises par le passé...

Malheureusement, c'est un sujet dont on ne parle que très peu dans les livres et les formations sur la gestion de projets, sur « changer sa vie » ou « définir des objectifs » :

La personne qui définit un objectif est rarement la même que celle qui l'atteindra.

C'est la raison pour laquelle je conseille de faire cet exercice simple, une fois par trimestre :

Commence par lister tous tes objectifs, toutes les choses sur lesquelles tu travailles, tout ce sur quoi tu investis des efforts et du temps (à titre personnel aussi bien que professionnel).

‐ Puis, pour chacune des choses que tu as listées, replonge-toi dans ton passé, à la période pendant laquelle tu avais pris chacune de ces décisions ou fixé chacun de ces objectifs. Souviens-toi de qui tu étais, des problèmes que tu avais à l'époque et que tu n'as plus aujourd'hui, de tes rêves du moment, des aspects de ta personnalité qui étaient différents, des diffultés que tu rencontrais...

‐ Et enfin, entoure en rouge les objectifs qui ont été définis par une « autre personne » que celle que tu est aujourd'hui, c'est à dire ceux qui ont été définis à une époque où tu étais quelqu'un de complètement différent en termes de difficultés, de rêves, d'aspirations...

Ça donne matière à se poser les bonnes questions, et à s'assurer qu'on n'est pas en train de s'épuiser à essayer de réaliser les rêves de quelqu'un qui n'existe plus...

Je propose toute une batterie d'exercices du type dans le premier module de la formation « Faire le bilan de sa vie : savoir où on va, pourquoi, et comment », que je viens de publier.

En voici le programme :

‐ Apprends à faire un inventaire complet de ta vie

‐ Apprends à évaluer le véritable "prix à payer" pour changer de direction

‐ Apprends à distinguer ce que tu veux vraiment de ce que tu crois vouloir

‐ Identifie les domaines de ta vie qui nécessitent un changement urgent

‐ Découvre comment transformer les problèmes impossibles à résoudre en opportunités de progression personnelle

‐ Libère-toi du piège du confort qui t'empêche d'évoluer

‐ Comprends comment le train train quotidien peut t'enfermer dans une vision à court terme

‐ Déjoue les pièges de la rationalisation qui t'empêchent d'agir

‐ Comprends pourquoi certains changements nécessitent un "point de non-retour"

Ose remettre en question tes choix de vie sans ressentir de culpabilité

‐ Apprends à fixer ta propre "ligne rouge" pour chaque domaine de ta vie

‐ Développe ta capacité à prendre des décisions alignées avec ton moi profond

‐ Découvre comment créer ta "journée idéale" et la transformer en réalité

‐ Développe ta capacité à voir les opportunités cachées dans tes frustrations

‐ Comprends pourquoi certains changements demandent un "électrochoc" pour se réaliser

Libère-toi du besoin de sauver les apparences qui t'empêche d'être authentique

‐ Maîtrise l'art de prendre des décisions difficiles mais nécessaires

‐ Ose remettre en question tes croyances sur ce qui est possible

Libère-toi du poids du passé pour créer l'avenir que tu veux vraiment

Toutes les informations sur ce programme sont ici :

« Faire le bilan de sa vie : savoir où on va, pourquoi, et comment »

Voici aussi ma toute dernière vidéo YouTube : Comment se différencier sur un marché saturé ?


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Jean Rivière.

L'écriture introspective

La cause de beaucoup des pensées qu'on a tendance à ruminer au fil des journées, c'est l'énorme chaos mental qu'on a l'intérieur de nous.

Ce chaos est fait des problèmes qu'on traîne depuis des années et qui n'ont pas encore été réglés, des blessures qu'on essaye d'oublier, des questions sur notre vie qui sont restées sans réponse, et ainsi de suite...

Quand les choses ne sont pas propres et pas rangées à l'intérieur, quand on a des conflits profonds qui n'ont pas été résolus, quand on a des souvenirs douloureux qu'on a tendance à refouler et qui surgissent de temps à autre de façon incontrôlée et qui viennent troubler notre sérénité...

Forcément, c'est bien difficile de trouver la paix.

Ce qui peut aider, c'est de mettre de l'ordre, petit à petit, dans ce chaos intérieur. De faire un grand « ménage de printemps ».

On peut le faire avec une thérapie longue, ou en se faisant guider par un coach. Mais on n'a pas tous le temps ni les moyens de se lancer dans ce genre de projet...

Une pratique qui peut aider, et qui est accessible à tous, c'est l'écriture introspective :

Il s'agit d'écrire un petit texte une fois par jour, sans essayer de contrôler les mots qui « tombent » sur la page, en laissant s'exprimer la partie la plus profonde de soi-même.

C'est une habitude quotidienne qui m'a beaucoup aidé à faire le propre dans ce qui était à une époque un énorme chaos mental, à résoudre des conflits intérieurs, et même à trouver des solutions à des problèmes que mon intelligence de surface n'était pas capable de résoudre.

Il existe plusieurs façons de pratiquer l'écriture introspective. Pour faire simple, voici une méthode facile à appliquer :

1‐ Choisis un format (soit en nombre de pages, soit en temps : 3 pages A5 chaque jour après le petit déjeuner, ou 15 minutes d'écriture chaque soir après le dîner...).

2- Laisse-toi écrire. Ne filtre pas les mots qui « tombent » sur ta page.

3- Dès qu'un sujet est un peu gênant, creuse-le au lieu de l'éviter.

4- Pose-toi la question : « Qu'est-ce que je veux dire par là ? » après chaque paragraphe pour t'aider à creuser.

Il existe d'autres méthodes du type, que je détaille dans le 2e module de la formation « Se libérer de la rumination et retrouver la sérénité ».

Ce module s'appelle « L'écriture comme outil d'introspection », et en voici le programme :

Apprends à pratiquer l'écriture introspective de trois façons différentes

‐ Essaye l'écriture proprioceptive pour te connecter à tes émotions

Découvre des méthodes avancées pour faire un grand ménage dans ta tête et tes émotions

Apprends à gérer les pensées incontrôlées qui surgissent parfois aux pires moments

‐ Comprends pourquoi la pensée positive mal utilisée peut être néfaste

Crée ton propre rituel d'écriture pour déclencher un état mental optimal

Développe ta capacité à creuser tes pensées et tes émotions pour mieux te comprendre

‐ Apprends à écouter ta voix intérieure pour prendre de meilleures décisions

‐ Développe ta capacité à trouver des solutions innovantes en écrivant

‐ Découvre comment l'écriture introspective peut t'aider à clarifier tes objectifs de vie

‐ Apprends à utiliser l'écriture automatique comme outil de brainstorming

Crée ta propre méthode d'écriture introspective adaptée à tes besoins

Toutes les informations sont ici :

« Se libérer de la rumination et retrouver la sérénité ».

Voici aussi ma toute dernière vidéo YouTube : Quand ton business t'empêche de dormir


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Jean Rivière.

La micro-méditation (ça prend 1 minute)

On peut lire beaucoup de choses ici et là sur les bienfaits de la méditation.

Et beaucoup de gens ont essayé de méditer une fois, après avoir lu un article ou vu une vidéo sur le sujet... Mais ils n'ont pas réussi à « tenir » plus de 5 minutes et n'ont pas persévéré.

Et c'est bien dommage, car ce sont ceux qui ont le PLUS DE MAL à méditer qui en ont le PLUS besoin.

Je suis bien placé pour le savoir : je reviens de loin, et il y a quelques années, il était impensable pour moi de rester 10, 20 ou 30 minutes assis de façon immobile.

Ce qui est intéressant, et que beaucoup de gens ignorent, c'est que la fréquence des séances de méditation est aussi importante que leur durée pour aider à prendre du recul sur ses pensées et ses émotions au fil de la journée.

Or, tout le monde peut méditer pendant une minute. C'est une pratique accessible à tous.

Il suffit de mettre un rappel sur son téléphone ou sa montre à chaque heure fixe (ou d'utiliser une horloge qui sonne toutes les heures), et de se poser pendant une minute. On peut aussi compter ses respirations dès que la cloche ou le rappel se met à sonner (5 ou 6 respirations profondes correspondent à peu près à une minute).

Ça permet de revenir au calme une dizaine de fois chaque jour, de se distancer des pensées que l'on a tendance à ruminer (en s'y identifiant moins, puisqu'on prend peu à peu l'habitude de les observer), et ça peut petit à petit encourager à méditer pendant deux minutes, puis cinq, puis 10...

Essaie aujourd'hui : il suffit de mettre un rappel sur ton téléphone ou sur n'importe quel autre appareil.

La seule règle, c'est d'arrêter ce que tu fais pendant une minute, et de rester immobile en te concentrant sur ta respiration, ou en observant tes pensées et tes sensations.

Tout le monde peut le faire, et cela peut changer beaucoup de choses dans l'expérience du quotidien !

Si ce sujet t'intéresse, je traite de ce sujet en profondeur dans ma dernière formation « Se libérer de la rumination et de la saturation mentale », dans le module 1 qui est intitulé : « Techniques de détachement mental, pour passer du stress à la sérénité ».

Au programme de ce module :

‐ Découvre comment ton mental te piège avec des pensées anxieuses

‐ Apprends à distinguer ton "système d'alarme" mental de ta véritable identité

‐ Maîtrise la technique du "verre d'eau boueuse" pour clarifier ton esprit

‐ Déjoue les pièges de l'identification excessive à tes pensées

‐ Développe une nouvelle relation avec tes émotions négatives

‐ Comprends l'influence de ton passé sur la rumination de pensées

‐ Transforme ton rapport au stress grâce à l'observation consciente

‐ Explore les bienfaits de la méditation fractionnée (1 minute suffit)

‐ Apprends à utiliser ton "intelligence profonde" plutôt que de rester sur tes pensées de surface

‐ Découvre comment les flux émotionnels influencent ta perception de la réalité

‐ Découvre comment intégrer la prise de recul à une vie très active

‐ Transforme ta relation avec tes "démons intérieurs" pour une vie plus sereine

‐ Découvre comment les micro-pratiques peuvent transformer tes journées

‐ Apprends à naviguer sereinement à travers les hauts et les bas émotionnels

Plus d'informations sont ici :

"Se libérer de la rumination et de la saturation mentale".

Enfin, si tu ne l'avais pas encore vue, voici ma toute dernière vidéo YouTube : J'ai échoué et je déprime.


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Jean Rivière.

2 nouvelles habitudes à tester

Au travail ou dans notre contexte de vie, on peut être entouré de personnes qui nous stressent, ou à qui on a tendance à se comparer sur des critères qui ne sont pas les plus sains.

Et si on a un contexte familial difficile, avec des conflits réguliers, c'est encore plus difficile de trouver un peu de sérénité dans nos journées.

C'est la raison pour laquelle on devrait rencontrer, au moins une fois par semaine, des personnes vraiment mûres sur le plan émotionnel, si possible que l'on admire parce qu'elles sont ce qu'on appelle communément « des gens bien ».

Ça peut avoir un impact énorme sur la façon dont on se sent au quotidien, parce qu'on devient souvent comme les gens qu'on côtoie.

À ne côtoyer que des gens stressés, on devient stressé.

À ne côtoyer que des personnes qui ont tendance à être agressives, ou à voir le mal partout, on devient peu à peu comme elles.

Ça ne veut pas dire qu'il faille changer d'amis, et encore moins de famille...

Au contraire !

Ça veut dire qu'en ajoutant une activité par semaine à sa routine, qui nous permette de côtoyer des personnes qui ont ce qui nous manque actuellement, on a beaucoup de chances de pouvoir faire un pas dans la bonne direction, de façon naturelle et sans efforts... et ça nous donnera à notre tour l'occasion d'impacter nos proches, nos collègues ou nos amis dans la bonne direction.

Ça peut consister tout simplement à rejoindre une association qui travaille pour une bonne cause (on y trouve souvent ce qu'on appelle communément des « gens bien »), on peut aussi choisir d'aider des personnes en difficulté (ça peut être aussi simple que de discuter avec une personne âgée isolée une fois par semaine), on peut participer à un groupe de volontariat... ou encore, si on a une inclination spirituelle ou humaniste, rejoindre un groupe plus structuré dans lequel on pourra être au contact de ce type de personnes.

C'est un choix semble simple, mais pourtant il peut avoir un énorme impact sur le quotidien...

Une autre chose qui peut aider, et qui est souvent la dernière à laquelle on pense quand on cherche des solutions pour améliorer sa vie...

C'est d'être au contact, au moins une fois par mois, de personnes qui vivent une situation de souffrance.

Rien que le fait d'aider - ou de parler - à des gens qui sont dans des situations plus difficiles que la notre permet de relativiser ses propres problèmes, de développer son empathie et sa compassion (ça apaise...), de se détacher plus facilement des choses superficielles après lesquelles on a tendance à courir tout au long de nos journées... En plus de pouvoir apporter du réconfort à quelqu'un qui en a besoin.

Voici les questions que je voudrais te proposer :

Quelle activité sociale hebdomadaire accessible près de chez toi te permettrait de rencontrer régulièrement des « gens bien » ?

Quel groupe ou association te permettrait d'apporter du réconfort, ou simplement de dialoguer au moins une fois par mois avec des personnes qui sont dans une situation plus difficile que la tienne ?

Prends un peu de temps aujourd'hui pour faire des recherches : ça peut marquer le début d'une belle transformation.

Ce type d'activités positives régulières -qui nous amènent à sécréter de la sérotonine- sont à même de participer à la construction d'un bonheur durable, contrairement à celles qui produisent de la dopamine.

Dans le module 3 de la formation « Se libérer de la rumination et retrouver la sérénité », on travaille ensemble à construire une routine qui favorise ce type d'activités, pour sortir enfin des cycles « frustration > satisfaction > manque > frustration > satisfaction > manque » et ainsi de suite... qui sont la conséquence d'une vie dans laquelle les activités liées à la dopamine occupent plus de temps que celles qui nous amènent à produire de la sérotonine.

Voici ce que tu vas trouver dans ce module 3 de la formation « Se libérer de la rumination et retrouver la sérénité » :

Analyse tes journées pour repérer les déséquilibres dopamine/sérotonine

‐ Comprends comment la recherche de stimulations liés à la dopamine peut créer des cycles de frustration

‐ Utilise un indicateur simple pour "prendre le pouls" de ton niveau d'agitation mentale au fil de tes journées

‐ Découvre pourquoi certaines activités favorisent le stress et la rumination

Transforme ta relation au travail en cultivant la motivation intrinsèque

‐ Explore de nouvelles façons plus satisfaisantes de pratiquer tes loisirs

Identifie les activités toxiques à éliminer de ton emploi du temps

‐ Intègre des rituels quotidiens axés sur la sérotonine

Comprends l'impact qu'ont vraiment les réseaux sociaux sur ton équilibre mental

Développe de nouvelles habitudes hebdomadaires pour ton bien-être

‐ Apprends à prendre du recul sur tes comportements addictifs

Transforme certaines de tes corvées en moments agréables

‐ Comprends pourquoi certains loisirs te frustrent plus qu'ils ne t'apportent de satisfaction

‐ Apprends à rendre ton travail plus épanouissant

‐ Découvre comment ton environnement influence ton équilibre mental

Transforme ta relation au temps pour plus de sérénité

‐ Développe une nouvelle approche de l'efficacité axée sur le bien-être

Plus d'infos ici :

« Se libérer de la rumination et retrouver la sérénité »

Voici aussi ma toute dernière vidéo YouTube : Complètement bloqué ? voici quoi faire.


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Jean Rivière.

Overdose d'infos

L'un des problèmes auquels on fait face dans le monde actuel, c'est qu'on est complètement submergés d'informations.

Et plus on a d'idées, de mots et de concepts épars qui nous « rentrent dans le cerveau », plus on lui donne matière à ruminer, à tourner en boucle, et à nous empêcher de trouver l'apaisement.

Le vrai souci, c'est que les informations que l'on consomme au fil d'une journée, d'une semaine ou d'un mois n'ont souvent aucune structure.

Elles sont trop nombreuses pour qu'on ait le temps d'en creuser assez en profondeur, et du coup, on reste souvent en surface :

Quand on essaie de se former à un sujet, par exemple, on passe trop souvent du coq à l'âne, d'une info superficielle à une autre info superficielle... Et comme ces infos proviennent d'auteurs, de créateurs ou de formateurs différents, ces elles se contredisent souvent entre elles.

Ce n'est pas étonnant donc, que plus on passe du temps à consulter du contenu de cette façon-là, plus on alimente son agitation mentale, et moins on arrive à apaiser son esprit.

Ce qui m'a beaucoup aidé à briser ce cycle, c'est de choisir ce que j'appelle des guides :

Il s'agit de commencer par lister tous les sujets sur lesquels on veut se former ou progresser.

Puis, de choisir un « guide » par sujet, c'est-à-dire un auteur, un expert, un créateur ou un formateur avec lequel on résonne, et dont on apprécie le regard ou la philosophie.

On étudie ensuite en profondeur les enseignements de chacun de ces guides :

S'ils ont écrit des livres, on les lit tous, en commençant par les plus anciens.

S'ils publient des vidéos ou des podcasts, on les regarde tous, à la suite, en ordre chronologique.

De cette façon, on entre en PROFONDEUR dans leur univers, et s'ils enseignent une méthode spécifique, on peut l'apprendre et la maîtriser en fournissant moins d'efforts et en y consacrant moins de temps que si on suivait 10, 20 ou 30 experts aux idées différentes, voire opposées...

En une heure d'étude, on progresse donc bien plus rapidement et on rentre bien plus en profondeur de cette façon là qu'en une heure de « papillonnage » sur des contenus de surface venant de 10, 20 ou 30 créateurs différents.

Choisir des guides, ça ne veut pas dire qu'on ne puisse pas en changer. Quand on aura fait le tour des enseignements d'un auteur ou d'un formateur, on pourra le remplacer par un autre qui nous aidera à avancer encore plus loin.

En d'autres termes, au lieu d'étudier plusieurs approches en simultané, on les étudie de façon séquentielle, l'une après l'autre.

Quand on consulte du contenu de cette façon, on est confronté à beaucoup moins d'incertitudes et de doutes.

On perd aussi beaucoup moins de temps. Et on peut progresser beaucoup plus vite, de façon apaisée.

Si c'est une approche qui te parle, elle fait partie du module 4 de la formation « Se libérer de la rumination et retrouver la sérénité » (ce module traite de la consommation excessive de contenus, et j'y propose des solutions concrètes comme celle-ci pour retrouver la sérénité).

En voici l'essentiel :

Apprends à trier efficacement l'information plutôt que de consulter du contenu en masse

Libère-toi de la peur de passer à côté d'informations cruciales (c'est cette peur qui nous amène à passer trop de temps à chercher de l'info)

‐ Crée un plan de consultation de contenu personnalisé pour une progression ciblée

‐ Développe une routine quotidienne d'apprentissage pour progresser dans les domaines qui sont importants pour toi

Déjoue les pièges des systèmes de notes qui donnent trop souvent une fausse sensation de contrôle sur le chaos d'idées et d'infos auxquel on est confronté

Apprends à limiter l'usage des appareils électroniques sans pour autant vivre comme au Moyen-Âge.

Apprends à choisir des guides pertinents pour chaque domaine dans lequel tu souhaites te former

‐ Optimise ton temps en regroupant tes recherches quotidiennes

‐ Développe une nouvelle relation avec les réseaux sociaux centrée sur les relations réelles

Libère-toi du besoin constant de sauvegarder l'information "au cas où"

Maîtrise l'art de l'apprentissage profond (avec une approche inspirée des moines)

‐ Transforme peu à peu ta façon de consommer l'information en vue de réduire tes niveaux de stress

‐ Comprends pourquoi la saturation d'informations nuit à la créativité

‐ Apprends à organiser tes contenus d'apprentissage par jours de la semaine

‐ Apprends à reconnaître les signes de saturation mentale due à l'excès d'informations

‐ Découvre comment pratiquer la "déconnexion sélective" pour une meilleure concentration

Tu peux accéder à la formation complète ici :

« Se libérer de la rumination et retrouver la sérénité »

Voici aussi ma toute dernière vidéo YouTube : Faire face à la peur (il a observé sa peur au milieu de la jungle avec des tigres)


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Jean Rivière.