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Une histoire de cochon (et de chat)

Avec mon voisin.

Rappel : la formation Gagner sa vie avec 50 fans : une activité viable avec une audience microscopique est disponible avec un tarif préférentiel jusqu'à 22h.

Il y a quelques années, je sortais plusieurs fois par semaine. J'enchaînais les restos et les fêtes.

Au bout d'un moment, j'étais même devenu patron de bar (j'avais monté un établissement pour m'amuser, pas pour viser le profit) et en plus de passer des heures à discuter avec les clients la plupart des soirs, j'organisais aussi des événements réguliers.

Cette période a été la plus intense de ma vie sur le plan social :

Je suis naturellement introverti, et j'avais dévié de ma façon d'être habituelle pendant ces quelques années, l'alcool aidant (aujourd'hui, je ne bois plus : beaucoup de choses ont changé depuis...).

À cette époque, j'ai rencontré plus de gens qu'à aucun autre moment de ma vie : des entrepreneurs, des voyageurs, des fêtards...

Pourtant, je me sentais souvent seul, parce que même si je vivais des soirées très intenses, je connaissais finalement très peu tous ces gens.

Aujourd'hui, je suis dans une saison de ma vie qui se déroule dans un contexte radicalement opposé : j'habite en pleine campagne, dans une ferme que j'ai rénovée en haut d'une colline (j'ai toujours organisé ma vie par saisons, un peu comme dans une série TV, parce que je trouve dommage de se contenter de vivre une seule fois alors qu'on a la possibilité d'avoir dix ou vingt vies...).

Et ici, les choses sont bien différentes : j'ai deux voisins, l'un à 200 m de chez moi, l'autre à 300 m.

En apparence, on n'a pas grand-chose en commun :

Ils savent planter des pommes de terre et réparer un tracteur, je sais créer des formations en ligne et créer des automatismes Zapier.

Quand ils travaillent aux champs, je crée du contenu ou je lis des livres. Ils ont grandi sous le régime communiste roumain, et j'ai grandi en France.

Pourtant on peut compter les uns sur les autres :

J'aide un voisin à passer une commande en ligne, il vient faire de la soudure sur mon portail. Je lui prête ma débroussailleuse quand la sienne est en panne, et il garde ma maison, mes chiens et mes chats quand je pars en voyage.

Cette entraide et cette confiance mutuelle, je ne l'ai jamais trouvée avec les personnes que j'ai rencontrées dans des soirées arrosées : rares sont celles à qui j'aurais accepté de confier la garde de mes animaux ou la clé de ma maison...

C'est pour ça que j'applique aujourd'hui un principe que j'appelle le "test du chat", dans beaucoup de domaines qui vont des partenariats business jusqu'au choix des politiciens à qui je donne mon vote.

Le "test du chat" peut se résumer à ça :

Si la personne en question ne semble pas être quelqu'un en qui je ferais confiance pour garder l'un de mes chats pendant un week-end, alors je ne lui fais pas confiance pour un partenariat business et encore moins pour gérer un pays.

J'étais tombé il y a quelque temps sur une fable ancienne :

Un riche marchand était entouré de nombreux "amis". Il avait toute une petite cour autour de lui.

Un jour, il se demande qui parmi eux sont là parce qu'il a de l'argent et qu'il les invite à dîner... Et qui sont ceux sur lesquels il peut vraiment compter.

Alors il met un cochon mort dans un grand sac, et part frapper à la porte de chacun d'entre-eux en plein milieu de la nuit.

Et quand ses amis ouvrent leur porte et le voient avec son sac ensanglanté, il leur dit :

"J'ai fait une chose horrible : j'ai tué un homme. Peux-tu m'aider à cacher son corps ?"

Et l'histoire raconte que l'un après l'autre, ils ont tous trouvé des excuses pour ne pas l'aider. Seul le plus pauvre et le plus humble d'entre tous s'est avéré être un ami véritable.

L'histoire est un peu extrême, mais elle pointe le doigt sur une vérité :

En amitié, ce n'est jamais le nombre qui compte, mais la profondeur et la confiance.

Et c'est le cas aussi en business : un bon client fidèle vaut davantage que 10 000 followers interchangeables qui se zapperont pour le prochain contenu qui brille, pour la prochaine méthode miracle ou pour le prochain gourou qui leur promet la fortune.

C'est la raison pour laquelle on n'a pas forcément besoin de toucher des foules entières pour avoir une activité stable et profitable... à condition de travailler avec les BONNES PERSONNES, de la bonne manière.

Ma dernière formation fournit des outils et des stratégies concrètes, clés en main, pour gagner sa vie avec une micro-audience de qualité.

Si c'est une voie qui te correspond davantage que celle qui consiste à essayer de toucher les foules de façon superficielle, elle est disponible jusqu'à 22h avec des conditions spéciales :

Gagner sa vie avec 50 fans : une activité viable avec une audience microscopique

Je l'ai conçue spécifiquement pour ceux qui n'ont qu'une poignée de personnes dans leur audience ET qui ne sont pas intéressés par une activité dans laquelle l'acquisition de trafic est cruciale.

(Cette formation n'est PAS adaptée à ceux qui ont déjà une audience de taille moyenne à grosse, ou qui préfèrent travailler sur l'acquisition de trafic que sur le développement de relations avec leurs fans.)

Parmi les points abordés dans la formation :

Un process qui prend 3 minutes par jour, et qui peut transformer une audience de 50 personnes en un vrai réseau professionnel à même de générer plus de revenus que des milliers de followers

Le changement de perspective qui peut transformer 50 followers en un RÉSEAU à haute valeur (c'est parfois plus rentable que d'avoir 50 000 fans)

Une stratégie relationnelle qui transforme une micro-audience en une communauté solide à même de générer des revenus stables pendant des années

Comment utiliser le désavantage apparent d'avoir peu de fans pour installer un niveau de relation avec ton audience complètement démesuré par rapport à celui que peuvent avoir les créateurs plus connus

Comment créer une dynamique de groupe dans laquelle chaque fan devient un ambassadeur naturel et amène de nouvelles personnes qualifiées dans ton audience (sans que tu n'aies à les trouver par toi-même)

La méthode pour devenir le "hub relationnel" de ta thématique, même avec seulement 50 personnes (en développant des connexions avec les gens les plus impliqués, tu peux devenir plus influent que des créateurs qui ont 100 fois plus d'audience)

Les 3 critères qui permettent de bien gagner sa vie avec une audience microscopique

L'avantage démesuré que procure une micro-audience quand on construit un système de business adapté au nombre de fans que l'on a plutôt que d'essayer de copier ce que font les autres

L'équation du "ROI démesuré" : pourquoi certains gagnent très bien leur vie avec 30 clients alors que d'autres peinent à dégager 500€ avec 3000 fans

La stratégie du "business tranquille" qui génère des revenus réguliers sans jamais avoir besoin de construire une audience massive

Tout le détail est ici (la formation est disponible avec des conditions spéciales jusqu'à 22h) :

Gagner sa vie avec 50 fans : une activité viable avec une audience microscopique

Voici le brouillon manuscrit de cet e-mail :


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Jean Rivière.