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S'expatrier en 2025

Beaucoup d'entrepreneurs s'expatrient, et c'est facile à comprendre :

La France est le pays de l'OCDE qui est le plus taxé. En plus de ça, les petits entrepreneurs ont tendance à y être considérés par défaut comme des suspects. Ils ne font pas vraiment partie du système et on le leur fait bien comprendre. Ils ont moins de droits que les autres, ils sont défavorisés sur énormément de plans...

Et en plus de tout ça, le système de retraites ressemble davantage à un Ponzi à la Bernard Madoff qu'à autre chose : on doit payer des sommes énormes pour le financer, mais on n'a absolument aucune garantie de pouvoir prétendre à une pension convenable quand le moment sera venu.

En ce moment, le pays est en déficit et les politiciens sont en panique : il faut trouver de l'argent très vite, et la façon la plus facile de le faire est d'augmenter les prélèvements.

Mais on le sait : une fois que les taxes augmentent, c'est fini. Elles redescendent rarement ensuite (hormis de façon ponctuelle ou ultra-ciblées, souvent dans le but d'obtenir des voix aux élections)...

Beaucoup d'entrepreneurs sont partis pour ces raisons-là, mais ils n'ont pas toujours fait les meilleurs choix :

Comme ils voulaient payer moins d'impôts, ils ont commencé par faire des recherches sur les pays dont le seul intérêt est leur faible taux de taxes.

Mais quand on fait un choix de relocalisation uniquement en se basant sur ce critère, on reste rarement longtemps... Parce que le niveau de taxation n'est jamais le seul facteur à prendre en compte :

Certains sont partis vivre à Malte, par exemple, et après avoir fait 50 fois le tour de l'île, ils s'ennuyaient déjà à mourir.

Beaucoup d'autres sont partis en Estonie (qui n'est pas vraiment un pays avantageux fiscalement si on prévoit de sortir de l'argent de sa société, d'ailleurs), sans prévoir que là-bas, au mois de décembre, la nuit dure 18 heures... Et pour échapper à la dépression, ils sont partis avant de terminer leur premier hiver sur place.

C'est bien compréhensible qu'on veuille partir pour échapper à l'enfer fiscal. Mais baser son choix de pays uniquement sur ce critère-là, c'est une énorme erreur.

Une meilleure façon de procéder consiste à voir les pays comme des applis. Aux débuts de l'iPhone, Apple utilisait le slogan : « Il y a une appli pour tout ». Il y a aussi un pays pour tout :

Il y a un pays pour les gens qui ont une vision du monde ou une philosophie de tel ou tel type. Il y a un pays pour ceux qui veulent pouvoir élever leurs enfants dans un cadre cohérent avec telles ou telles valeurs. Il y a un pays pour ceux qui veulent pouvoir rencontrer des voyageurs et des aventuriers tous les jours, et avoir une vie sociale très riche. Il y a un pays pour les gens solitaires. Il y a un pays pour ceux qui veulent vivre dans un climat printanier toute l'année. Il y a un pays pour ceux qui veulent faire la fête, et il y a un pays pour ceux qui veulent avoir une atmosphère qui les tire vers le haut et les porte naturellement vers le succès.

Et il y a aussi un pays de chacune de ces catégories qui est particulièrement accueillant pour les entrepreneurs...

Les impôts qu'on paie, c'est un peu comme l'abonnement à une appli : c'est le prix à payer pour vivre la vie que permet le pays qu'on a choisi.

Vouloir uniquement utiliser des applis gratuites, c'est se priver de beaucoup de choses.

Et vouloir uniquement vivre dans un pays parce que son niveau de taxation est faible, c'est aussi une privation sur tous les autres plans.

D'ailleurs, aujourd'hui, il n'y a plus besoin d'aller vivre sur une île bizarre pour payer beaucoup moins d'impôts : de nombreux pays « normaux », qui ont « pignon sur rue » et qui sont à la fois développés et stables politiquement sont très accueillants pour les petits entrepreneurs, et proposent un niveau de taxation extrêmement bas.

Je suis parti de France en 2004. J'ai vécu en Europe de l'Est, puis en Thaïlande, au Cambodge, et à nouveau en Europe de l'Est.

J'ai monté des entreprises dans plusieurs pays. J'ai organisé ma couverture sociale et ma retraite de façon individuelle, par moi-même. J'ai fait face à à peu près tous les problèmes imaginables, et j'ai trouvé des solutions au fil du temps.

J'ai été jusqu'à monter une entreprise au Cambodge rural (lorsque j'avais construit une maison en bois dans un village là-bas), à monter aussi un bar en Thaïlande, à faire tourner mon business en ligne en même temps...

Et il y a quelques années, j'avais créé une formation dans laquelle je donne mes meilleurs conseils sur l'expatriation.

Elle fait partie de mes « formations collector » et elle a déjà aidé de nombreux élèves à franchir le pas, en leur apportant de l'aide et des conseils sur tous les plans pratiques de l'expatriation.

Tu peux l'obtenir jusqu'à 22h avec des conditions préférentielles ici :

« L'expatriation, par Jean Rivière. »

Voici ce que tu vas y apprendre :

‐  MODULE 1 (45 minutes) : Les bases du projet : choisir un pays, un mode de vie, et les recherches à faire avant.

  MODULE 2 (38 minutes) : Les endroits où j'ai vécu, et mes meilleurs conseils et retours d'expérience.

  MODULE 3 (29 minutes) : Construire sa nouvelle vie, étape par étape : trouver le lieu parfait dans le pays, créer son équilibre, rapport avec les voisins...

‐  MODULE 4 (47 minutes) : Se faire rapidement des amis sur place, et construire son réseau.

  MODULE 5 (41 minutes) : L'administratif, des assurances santé aux impôts (+ le calendrier d'actions).

‐  MODULE 6 (43 minutes) : Éviter 99% des problèmes communs (toutes mes erreurs, et comment ne pas les refaire).

  MODULE 7 (39 minutes) : Conseils spécifiques : couple, enfants, trouver l'âme sœur sur place, mes critères pour choisir un appartement...

  MODULE 8 (38 minutes) : BONUS : Tous mes bons plans pour économiser de l'argent quand on est expat (et éviter les galères qui coûtent souvent cher).

Soit plus de 5h30 de formation, ce qui en fait le plus gros programme que j'ai jamais créé sur le sujet
, après 20 années d'aventures et de projets à l'étranger.

À la fin du programme, ton projet d'expatriation est ficelé dans les moindres détails, et ton départ est prêt.

Beaucoup d'entrepreneurs pourraient partir vivre une vie meilleure ailleurs, mais ils hésitent parce qu'ils ont des enfants, ou bien parce qu'ils ont peur de ne plus avoir la Sécu, ou bien encore à cause d'autres craintes tout à fait valides.

Le problème, c'est qu'on trouve peu d'infos sérieuses sur ces sujets. Il existe pourtant des solutions pratiques qui fonctionnent, et qui permettent de vivre sans souci et en toute sécurité à peu près n'importe où dans le monde.

Le tout, c'est de savoir s'organiser. Et d'apprendre de l'expérience de ceux qui sont déjà allés sur le terrain, qui ont fait face à à peu près tous les problèmes qu'on peut rencontrer en s'expatriant, et qui y ont trouvé des parades.

Dans cette formation, je partage mon expérience personnelle, et je donne mes meilleurs conseils.

L'objectif, c'est d'éviter à d'autres de prendre les mêmes risques que ceux que j'ai pris au début, et de leur éviter aussi de passer par plusieurs années d'incertitude avant de savoir bien organiser leur vie d'expat.

Si c'est un sujet qui t'intéresse, la formation est disponible avec des conditions spéciales jusqu'à 22h :

« L'expatriation, par Jean Rivière. »

Pour terminer, voici ma toute dernière vidéo YouTube : Remplir sa mailing-list en 2025.


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Jean Rivière.