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Mon histoire

Tu avais demandé à recevoir la série « Une autre façon d'aborder le business en ligne », dont voici le troisième e-mail.

Si tu avais raté les précédents, tu peux encore les lire ici :

✉️ Email 1 :
La voie du marchand de tapis : une boîte de pandore

✉️ Email 2 :
La voie de l'expert fauché : l'autoroute vers la frustration

Je te recommande de commencer par les lire en entier avant de te pencher sur l'e-mail d'aujourd'hui.

Mon histoire (et le défi que je me suis lancé pour déconstruire le business en ligne et le reconstruire sur de nouvelles bases) :

Je gagne ma vie sur le web depuis 2004 et je suis créateur de contenu depuis 2008. Au fil des ans, j’ai créé et lancé plus de 400 formations en ligne.

Dans la première partie de ma carrière, je faisais de la vente pure. Du marketing classique. Du copywriting. De la persuasion.

Ça m’a donné de beaux résultats financiers, et ça m’a permis de vivre une vie remplie d’aventures.

Par exemple, j’ai été digital nomad pendant plusieurs années, et je parcourais le monde avec toute ma vie dans une valise, en filmant des vidéos :

J’ai aussi habité à l’année dans une suite d’un hôtel 5 étoiles, à Bangkok.

J’ai ouvert un bar en Thaïlande, pour m’amuser :

J’ai construit une maison en bois au Cambodge, quand j’en ai eu assez de la Thaïlande :

Bref, je me suis fait plaisir.

Mais après une bonne décennie à faire du marketing et à vivre des aventures autour du monde, je me suis retrouvé complètement désabusé :

Malgré tout ce que j’avais accompli professionnellement, malgré toutes les « vies dans une vie » que je m’étais offertes, je commençais à ressentir un vide intérieur qui devenait de plus en plus oppressant au fil des ans.

Quand je m’étais lancé, je voulais vivre une vie exubérante et gagner beaucoup d’argent. Mais l’exubérance et les succès professionnels, c’est comme les chips : on peut en manger des kilos et toujours rester sur sa faim, parce que ça ne suffit pas pour être rassasié.

Plus on en mange et plus on creuse un déséquilibre, une carence, qui ne peut pas être compensée par « manger encore plus de chips ».

Bref, je suis passé à travers ce qu’on appelle une perte de sens : j’étais complètement désabusé. Et c’est à ce moment-là que j’ai commencé à partir en vrille.

Je passe sur les détails de cette période, incontestablement la plus difficile de ma vie. J’essaie de l’oublier ; je ne vais pas en faire un pavé.

Mais c’est quand j’étais au fond du trou que, sur un coup de tête, j’ai acheté une toute petite ferme à la campagne pour 11 000 euros et que je me suis mis au vert : 

C’est à ce moment-là que j’ai compris que la façon dont j’avais abordé mon activité dans la première partie de ma carrière ne pourrait plus jamais me satisfaire à nouveau.

J’avais besoin de vrai. J’avais besoin de sens. J’avais besoin d’autre chose que de juste courir après les résultats et les aventures en négligeant mes besoins profonds.

C’est là aussi que j’ai commencé à recueillir des animaux. Aujourd’hui, je me retrouve donc avec 7 chiens et 4 chats.

Quelques-uns de mes animaux.

J’ai tellement apprécié cette vie à la campagne avec des animaux, que j’ai ensuite acheté une deuxième ferme, plus grande cette fois, avec l’objectif d’y passer le restant de mes jours : 

C’est dans cette ferme que j’ai commencé à me lancer dans des aventures d’un autre type :

Pendant des années, j’explorais ce qu’il y avait à l’extérieur : le monde, les possibilités qu’offre une vie libre et mobile, les paliers que l’on peut dépasser dans un business en ligne…

Ensuite et pour la première fois de ma vie, j’ai commencé à explorer sérieusement ce qu’il y avait à l’intérieur. Je me suis intéressé à différentes sagesses, à la méditation…

En d’autres termes, je commençais à gravir ma deuxième montagne :

Le problème, c’est qu’au début de cette période, mon métier consistait toujours à fournir aux gens des outils conçus pour gravir la première montagne. Il n’était plus aligné, ni avec ma nouvelle vie, ni avec mes nouvelles aspirations.

J’aimais l'aspect créatif de ce métier (il fait partie de ma vie, je ne peux pas m'en priver), mais je ne me sentais plus du tout à ma place dans l’approche « marchand de tapis ». Or, je n’étais pas prêt non plus à suivre la voie de l’expert fauché ou du génie incompris : ça m’aurait plongé dans un autre cycle toxique, dont j’aurais peut-être encore mis des années à me libérer…

À un moment, un déclic est arrivé : j’ai compris que de renoncer à la voie du marchand de tapis n’impliquait pas forcément de se retrouver dans l’impasse de l’expert fauché…

Parce qu’il était possible de TRANSCENDER ces deux voies plutôt que d’en choisir une.

Mais pour réussir à le faire, il fallait trouver de nouvelles façons de résoudre les points suivants, d'une façon qui n'impacte pas négativement les résultats financiers d'une activité :

‐ En finir avec les promesses de résultats rapides ;

En finir avec les contenus toxiques pour faire du buzz ;

‐ En finir avec le copywriting racoleur ;

‐ En finir avec les stratégies qui abiment la confiance ;

‐ En finir avec les contenus jetables ;

‐ En finir avec les promos limitées dans le temps ;

‐ En finir avec les stratégies d'acqusition d'e-mails dépassées.

J’ai passé du temps à chercher des solutions viables à chacun de ces problèmes. J’en ai fait ma mission.

Et je me suis mis à déconstruire complètement le business en ligne, pour le reconstruire sur de nouvelles bases.

Comme disait Picasso : « Apprends les règles comme un professionnel afin de pouvoir les briser comme un artiste ». C’est la raison pour laquelle, aujourd’hui, je ne regrette plus d’être passé par la première partie de ma carrière, même si ce que j’enseigne aujourd’hui est en opposition totale avec certaines de mes pratiques d’autrefois.

C’est justement parce que j’ai cette expérience derrière moi et que je connais les leviers qui permettent d’obtenir des résultats de façon classique que j’ai pu trouver des clés qui permettent de prétendre à des résultats fructueux SANS pour autant devoir vendre son âme.

Ces clés, ce sont celles qui m'ont permis aujourd'hui de donner du sens à mon métier, et de le placer à l'intersection de ces trois cercles :

J'ai créé une seconde série d'e-mails, dans laquelle je détaille les solutions que j'ai trouvé.

Tu peux la recevoir en cliquant ici :

Voici le sommaire de cette seconde série :

✉️ Jour 1 :
En finir avec les promesses de résultats rapides

✉️ Jour 2 :
En finir avec les contenus toxiques pour faire du buzz

✉️ Jour 3 :
En finir avec le copywriting racoleur

✉️ Jour 4 :
En finir avec les stratégies qui abiment la confiance

✉️ Jour 5 :
En finir avec les contenus jetables

✉️ Jour 6 :
En finir avec les promos limitées dans le temps

‐ ✉️ Jour 7 :
En finir avec les stratégies d'acqusition d'e-mails dépassées

‐ ✉️ Jour 8 :
Comment continuer l'aventure

Tu peux démarrer cette seconde série d'e-mails en cliquant ici si tu souhaites découvrir les solutions concrètes que j'ai trouvées.

À tout de suite,

Jean Rivière.