Le moment où l'on a assez d'argent

Rappel : La formation "L'éducation financière qu'on aurait dû avoir à l'école" est disponible avec un tarif spécial jusqu'à demain.

C'est beaucoup plus difficile d'épargner quand on est entrepreneur que quand on est salarié, pour une raison simple :

Quand on est à son compte, on a des revenus qui font des hauts et des bas, on a donc tendance à ajuster nos dépenses en fonction.

Quand j'ai démarré dans l'entrepreneuriat, je voyais l'argent comme une récompense : je me disais que je méritais d'en dépenser davantage quand j'avais bien travaillé.

Et dès que j'avais gagné plus que d'habitude, je me mettais à faire des achats pour le plaisir, juste parce que "j'y avais droit", un peu comme si je m'offrais des cadeaux pour me récompenser de mes propres efforts.

Le revers de la médaille, c'est que quand mon chiffre d'affaires était en baisse, je le vivais très mal. Parce que l'impact sur mon quotidien était direct :

Quand je gagnais moins, j'étais privé de cadeaux.

En d'autres termes, j'étais puni.

Et à force de passer par ces cycles récompenses/punitions, j'ai fini par comprendre que je me faisais du mal :

L'impact psychologique de chaque baisse de résultats était devenu beaucoup plus important qu'il méritait de l'être, et ça générait de l'anxiété inutile.

C'est déjà stressant de constater qu'on a eu de moins bons résultats que d'habitude... mais ça le devient encore plus quand on sait qu'on sera "puni" pour cette baisse en étant privé de beaucoup de plaisirs jusqu'à ce que les chiffres remontent.

Peu à peu, j'ai donc compris que si je voulais pouvoir travailler sereinement, il fallait que je me crée une vie dans laquelle rien ne change en fonction de mes revenus.

Parce que non seulement ça me permettrait d'épargner davantage, mais surtout, ça aurait pour effet de dissocier ma qualité de vie de mes performances du moment...

J'ai donc commencé par me demander quelle serait ma vie idéale :

De quoi est-ce que j'ai vraiment besoin pour être heureux ?

Quel serait le meilleur environnement pour moi, indépendamment des coûts ?

Et surtout, quelle serait la meilleure façon d'occuper mes matinées, mes après-midi et mes soirées pour que je n'aie jamais l'impression de manquer de quelque chose ?

Quand on se pose ces questions sans penser d'abord à l'argent, on trouve des réponses qui peuvent être aux antipodes de ce qu'on nous vend un peu partout comme étant l'archétype de la "belle vie".

Parce que pour certains, la belle vie, ça devient juste une maison à la campagne avec des animaux, des couchers de soleil à savourer, et des feux de bois autour desquels échanger avec ses proches ou avec ses amis.

Pour d'autres, ça devient des journées construites autour de la marche et de l'écriture ou de la lecture depuis des bancs et des terrasses de café.

Pour d'autres encore, ça devient une tiny house en haut d'une colline avec vue sur une vallée, des après-midi sur un hamac, et beaucoup de randonnées.

Essaye pour voir : quand on imagine sa vie idéale sans prendre en compte la question de l'argent, quand on se demande juste ce qui nous rendrait PROFONDÉMENT heureux, il se peut qu'on arrive à des conclusions qui n'ont rien à voir avec le modèle classique du succès...

Et une fois qu'on a mis le doigt sur ce mode de vie idéal, alors on pourra se poser la question de l'argent, mais seulement à ce moment-là !

Il y aura deux questions à se poser, d'ailleurs :

1- Comment est-ce que je pourrais FINANCER ce mode de vie d'une façon qui soit stable et durable ?

2- Quel est le POURCENTAGE MINIMUM de mes revenus qu'il me faudra épargner pour pouvoir vraiment me sentir en sécurité et vivre un quotidien apaisé ?

Quand on y réfléchit comme ça, la vie parfaite, c'est donc juste :

1- Un mode de vie qui satisfait nos besoins profonds

2- Une activité qui permet de le financer ET de mettre de côté 30 ou 50% (ou autre...) de ses dépenses mensuelles.

C'est quand on a atteint ce but qu'on peut se dire qu'on a réussi sa vie, étant donné qu'on ne manquera plus de rien...

Parce qu'on peut dépenser 20 000€ par mois et ressentir un manque : c'est ce qui se passe quand on a une vie qui n'est pas alignée avec ses besoins profonds et dans laquelle on s'offre des "cadeaux" à chaque fois qu'on a gagné plus que d'habitude.

On peut aussi vivre une vie beaucoup plus simple mais ne jamais ressentir de manque, si on a exactement la vie qui nous convient ET qu'on s'est construit une sécurité financière qui permet de la vivre de façon apaisée...

Ne répète pas l'erreur que j'ai faite au début de mon parcours :

"Améliorer" son quotidien à chaque fois qu'on gagne plus que d'habitude, c'est un piège.

Parce que non seulement ça n'améliore rien, mais ça ne fait que nous enfermer dans l'anxiété, en amplifiant l'impact émotionnel de chaque baisse et de chaque hausse de revenus (alors que ce sont des phénomènes tout à fait normaux quand on travaille à son compte).

Jusqu'à demain, ma formation sur les finances personnelles est disponible avec des conditions avantageuses :

L'éducation financière qu'on aurait dû avoir à l'école

Au programme :

‐ Revoir ton rapport à l'argent, pour devenir capable d'épargner

‐ Établir un fonds de sécurité qui te protège des aléas de la vie

‐ La méthode minimaliste pour investir

‐ Diversifier tes placements de façon intelligente

‐ Les nouvelles façons d'investir, avec la TAA (Tactical Asset Allocation)

Tu peux lire la page ici pour voir le détail du programme (les conditions spéciales sont valables jusqu'à demain) :

L'éducation financière qu'on aurait dû avoir à l'école

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