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Est-ce que tu te trompes de projet ?

Note : la formation "L'École de la réalisation de projets" est disponible avec des conditions préférentielles jusqu'à demain.

Ça t'est déjà arrivé de travailler à fond sur quelque chose, d'y mettre des efforts complètement fous pendant des mois ou des années...

Pour te rendre compte au final que ce n'était pas le bon projet pour toi ?

Le problème, c'est que quand une idée nous passe par la tête, on fonce parfois trop vite dans l'action, sans prendre assez de recul avant de démarrer.

Ça m'est arrivé, par exemple, de m'être lancé dans des projets d'automatisation complexes pour appliquer une idée qui venait de me passer par la tête...

Et de me rendre compte après plusieurs semaines de travail que même si mes automatismes étaient bien faits, mon idée de départ n'était pas si bonne...

C'est tout le problème des périodes que j'appelle les "lunes de miel" :

C'est une illusion qui ne touche pas seulement que les idées, mais aussi les pays et les lieux de vie, et les relations parfois...

Quand on est quelqu'un d'un peu intense, qui a tendance à s'enflammer quand quelque chose lui plaît, on peut vite vouloir tout changer tout de suite, de façon définitive :

Je l'ai vécu en voyageant : quand on arrive dans un nouvel endroit, tout semble rose. On est en pleine lune de miel, et on ne voit que les côtés positifs du pays en question...

Et plus la lune de miel était intense, plus on retombera de haut quand l'enthousiasme sera redescendu et qu'on commencera à voir aussi les aspects qui nous plairont moins.

En fait, il y a deux écueils opposés, qui sont tous les deux aussi dangereux :

1- L'inaction ("J'ai une idée, et je la mettrai en application un jour peut-être, si j'ai le temps"...)

2- L'action trop rapide ("Je suis tellement enthousiaste que j'arrête tout, tout de suite, pour passer à l'action dans la minute").

Quand on est créatif, entrepreneur, ou simplement quand on est quelqu'un qui a des rêves qu'il aimerait réaliser, on est un peu comme un funambule en équilibre sur un fil, qui peut tomber à tout moment à droite ou à gauche, soit dans l'inaction, soit dans l'action trop rapide :

Et parfois c'est bien difficile de rester sur le fil, parce qu'il est très fin, et qu'il est vraiment facile de tomber d'un côté ou de l'autre...

Dans ma vie, je suis trop souvent tombé du côté de l'action trop rapide :

Je suis allé jusqu'à décider de changer de vie ou de pays sur un coup de tête en pleine nuit. Et j'ai complètement transformé mon business en moins d'une semaine plusieurs fois aussi, juste parce qu'une idée avait fait "clic" dans ma tête.

Ce que toutes ces expériences m'ont fait comprendre, c'est que c'est toujours plus profitable de se demander si on travaille bien sur le BON PROJET, plutôt que de commencer par se demander comment réaliser ce projet le plus rapidement possible.

Parce que quelqu'un qui va très vite, mais qui ne travaille pas sur la bonne tâche, il est finalement moins efficace que quelqu'un qui est plus lent, mais qui travaille sur la bonne...

C'est la raison pour laquelle la prise de recul est tellement importante au début d'un projet.

Quand on se fixe un objectif, on a tendance à penser à court terme. On commence souvent par se demander : "Qu'est-ce que je pourrais faire tout de suite pour avancer ?"

Mais c'est souvent plus efficace, au moins au début, de retarder volontairement le rythme, et mettre un frein temporaire sur les choses pour laisser le temps à l'idée de sortir naturellement de la phase d'euphorie / "lune de miel".

C'est ça que j'ai compris avec le temps : entre l'inaction totale et l'action précipitée, il existe une voie du milieu.

C'est sur cette voie du milieu que repose l'approche que j'enseigne dans ma toute dernière formation :

L'École de la réalisation de projets

(Si tu veux suivre ce programme, des conditions spéciales sont disponibles jusqu'à demain).

La formation aborde tous éléments essentiels pour gérer un projet intelligemment :

‐ La façon de structurer son environnement pour qu'il nous soutienne au lieu de nous freiner

‐ L'art de préserver son énergie créative sur la durée, pour ne pas s'épuiser

‐ Comment maintenir la flamme et le plaisir même quand les choses deviennent difficiles

‐ La manière de transformer les grands projets intimidants en micro-étapes digestes

‐ L'art de développer une confiance en soi naturelle qui ne dépend pas de la motivation du moment...

Ces aspects sont souvent négligés ou même complètement ignorés dans les approches traditionnelles de l'efficacité et de la gestion de projets. Pourtant, sans eux, même le meilleur plan d'action du monde ne suffit pas.

C'est comme si on essayait de faire pousser une plante : ce n'est pas qu'une question d'eau et de soleil. Il faut aussi le bon terreau, la bonne température, la bonne exposition... C'est tout un écosystème qui permet à la plante de s'épanouir naturellement...

Et dans L'École de la réalisation de projets, on crée ensemble cet écosystème complet pour tes projets.

Tu vas découvrir par exemple :

‐ Comment rendre l'action plus facile que l'inaction (l'objectif, c'est de ne plus avoir besoin de lutter contre soi-même quand on est tenté de procrastiner)

‐ Des techniques pour gérer plusieurs projets sans s'éparpiller

‐ Une méthode pour transformer ton mindset et arrêter de douter de tes capacités

‐ Des façons originales de mesurer tes progrès sans te mettre la pression

‐ Des exercices pratiques pour clarifier tes objectifs

Et beaucoup d'autres choses, qui sont détaillés sur la page :

L'École de la réalisation de projets

La formation est disponible avec des conditions spéciales jusqu'à demain soir.

Voici le brouillon manuscrit de cet e-mail :


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Jean Rivière.